Selon le WSJ, l’antivirus Kaspersky aurait permis à des pirates russes d’identifier et dérober des documents confidentiels de la NSA.

Selon le WSJ, l’antivirus Kaspersky aurait permis à des pirates russes d’identifier et dérober des documents confidentiels de la NSA.
Les télégrammes n’attendront pas la feuille de route de 10 ans de l’Union européenne pour se refonder tous les soirs.
Le Department of Homeland Security ordonne à toutes les organisations gouvernementales de supprimer l’antivirus Kaspersky de leurs systèmes IT.
Le président russe signe la loi qui va interdire l’usage des VPN, de Tor et de proxies aux utilisateurs russes. La Chine serre également la vis aux réseaux privés virtuels, en passe d’être interdits.
La Russie de Vladimir Poutine s’apprête à interdire, dès 2018, l’usage des techniques permettant de surfer anonymement sur Internet. Une première mondiale.
Après les Etats-Unis, au tour du Royaume-Uni de s’alarmer d’une vague de cyberattaques ciblant le secteur de l’énergie. Les regards accusateurs se tournent vers le Kremlin.
Embarrasser le camp démocrate… mais pas seulement. Pour la NSA, les services russes ont aussi tenté de s’immiscer directement dans le système de vote électronique américain.
Quelques jours après l’opération de déstabilisation visant le second tour de la présidentielle, retour sur les principaux enseignements des MacronLeaks. Et sur les techniques de défense qui ont probablement permis à En Marche de limiter les dégâts.
Les experts en sécurité s’inquiètent des vulnérabilités SMB de Windows, mises au jour via la divulgation d’outils de hacking de la NSA promptement récupérés par les cybercriminels. Une menace du niveau du tristement célèbre Conficker ?
Responsabiliser les pays qui hébergent des proxies, amorcer le désarmement dans le monde cyber et proscrire le hack back. La France veut amorcer des discussions internationales sur la paix dans le cyberespace. Sans grande chance d’aboutir.
Des cybercriminels sont parvenus à vider des automates bancaires sans aucune intervention sur les ATM. Les instructions étaient envoyées depuis le réseau de la banque, dont les serveurs avaient été préalablement compromis.
La justice américaine accuse les renseignements russes de collusion avec des cybercriminels dans le piratage de Yahoo. Et pointe leur volonté d’étendre leurs cyberattaques à d’autres prestataires.
Les révélations de Wikileaks dévoilent l’existence d’une entité de la CIA chargée de détourner les outils de piratage d’autres nations au profit de l’agence de Langley. Objectif supposé : voir d’autres Etats accusés de ses méfaits.
En marche ciblé par les hackers d’Etat russe ? Pas si vite. Le mouvement d’Emmanuel Macron reconnaît qu’il n’a ni les moyens, ni le temps de formuler des accusations aussi précises. Et en appelle à l’Etat.
Le retour annoncé du mythique Nokia 3310 à Barcelone ne doit pas vous faire oublier de lire les télégrammes du soir.
Pour éviter la cyber-ingérence d’un ou plusieurs Etats dans la campagne présidentielle, François Hollande demande des mesures de protection.
Croisé lors du Forum international de la cybersécurité à Lille, Mikko Hypponen, le directeur de la recherche de F-Secure et expert mondialement reconnu, revient sur les attaques qui ont émaille la présidentielle américaine. Et s’inquiète de la course aux armements dans le cyberespace.
Le panorama dressé par le Club de la sécurité de l’information français (Clusif) montre comment la cybersécurité est devenue un thème de société central en 2016. Mais aussi comment elle pose des hypothèques sur des technologies émergentes, comme la Blockchain.
L’administration américaine s’emploie à démontrer l’implication du Kremlin dans les piratages qui ont ciblé le camp démocrate. Mais les experts en sécurité restent dubitatifs faute d’éléments techniques probants.
La Russie s’appuie sur les médiaux sociaux pour appeler de jeunes recrues à intégrer des « escadrons scientifiques » capables d’accéder à des systèmes et réseaux, à l’insu des cibles.
Les services de sécurité américains détaillent ce qu’ils appellent l’opération Grizzly Steppe, soit le piratage du parti démocrate lors de la dernière campagne présidentielle. Une opération attribuée aux renseignements russes et qui a commencé par une banale campagne d’e-mails piégés.
Barack Obama a annoncé jeudi des mesures de rétorsion contre la Russie, qu’il accuse d’avoir influencé l’élection présidentielle américaine 2016 remportée par Donald Trump. Des services de renseignement, des pirates informatiques et des diplomates russes sont mis sur la sellette.
L’OSCE, médiateur indépendant du conflit entre l’Ukraine et la Russie, a été massivement piraté. Les soupçons se portent sur le groupe APT28.
Les Fancy Bear, ce groupe de hackers que les Américains estiment étroitement liés à Moscou, auraient piraté une app Android de l’armée ukrainienne. Pour mieux détruire son artillerie.
Au vu des piratages qui ont émaillé les élections américaines, l’Anssi a organisé un séminaire pour sensibiliser les partis politiques français à la cybersécurité. Pas sûr que cela suffise étant donné le déséquilibre des forces en présence.
Après les cyberattaques qui ont émaillé la récente campagne présidentielle et conduit Obama à menacer Moscou de représailles, Silicon.fr se plonge dans l’ambiance américaine. À New York City, des supporters d’Hillary Clinton expliquent que les seuls piratages ne sauraient expliquer la défaite de leur favorite.
Un pirate informatique de langue russe aurait tenté de vendre des identifiants d’accés de l’EAC, l’agence américaine en charge du système de certification volontaire de vote.
La Maison Blanche suspecte fortement la Russie, et Vladimir Poutine en personne, d’avoir influencé les élections américaines. Barack Obama va annoncer des cyber-représailles
Selon la CIA, les cyberattaques qui ont bousculé la campagne présidentielle américaine sont bien liées à la Russie. Moscou aurait ainsi cherché à favoriser un candidat, Trump, aux dépens de l’autre, Clinton. Donald Trump n’y croit toujours pas. Barack Obama ordonne une enquête.
Une primaire chasse l’autre et voici qu’un nouveau candidat se déclare, mais la stabilité règne dans les télégrammes du soir.