Le groupe informatique d’origine française Sopra Steria veut développer ses activités en Allemagne en acquérant Bluecarat.

Le groupe informatique d’origine française Sopra Steria veut développer ses activités en Allemagne en acquérant Bluecarat.
Sopra Steria s’associe à la fondation allemande IOTA pour travailler sur le triptyque blockchain – IoT – sécurité.
La SSII Sopra Steria met la main sur Galitt, société de conseil et éditeur de solutions sur le marché des systèmes de paiement et des transactions sécurisées.
Comme ses concurrents, Sopra Steria signe un exercice 2016 très positif, marqué par une solide croissance organique et un bond des bénéfices. L’intégration réussie de Steria semble acquise.
Forts de bons résultats au 1er semestre 2016, les groupes de services IT français Capgemini et Atos ont relevé leurs perspectives annuelles. Sopra Steria, prudent, a confirmé ses objectifs.
Ne vous laissez pas déborder malgré l’arrivée des innondations : lisez les télégrammes du soir.
Sopra Steria signe une année de transition, où elle s’est employée à éteindre ses foyers de pertes. Le groupe entend désormais ramener la marge au niveau que connaissait Sopra avant l’acquisition de son concurrent.
Faute d’exécuter une mise en demeure relative aux risques psycho-sociaux pour son site de Meudon-la-Forêt, Sopra Steria a été verbalisée par l’inspection du travail des Hauts-de-Seine.
Fort de la progression de son activité en France au premier semestre, le groupe Sopra Steria vise désormais une marge opérationnelle d’activité 2015 de l’ordre de 6,5 %. Le titre bondit en Bourse.
L’ancienne filiale PLM d’Airbus rejoindra Sopra Steria le 1er octobre 2015. Avec Cimpa, la SSII veut conforter ses positions dans l’aéronautique, mais aussi dans l’industrie, les transports et l’énergie.
Bons résultats pour Sopra Steria. La SSII a pu compter sur les renforts de Steria et HR Access pour booster son chiffre d’affaires, en particulier hors de France et via ses activités secondaires.
Les résultats mitigés de Steria en France ont précipité le départ de son ancien dirigeant François Enaud. Un manager de Sopra « pur sucre », Vincent Paris, prend la direction du groupe Sopra Steria récemment fusionné. Et ce conformément au voeu de son président, Pierre Pasquier.
Année 2014 réussie pour le tout nouveau groupe Sopra Steria, né de la fusion des deux SSII. La société met aussi la main sur Cimpa, filiale d’Airbus spécialisée dans le PLM.
Dans un marché atone, les principales SSII de l’Hexagone ont misé avant tout sur des acquisitions pour renforcer leurs positions. Atos et Sopra Steria sont au coude à coude pour le podium.
Né de la fusion récente des deux SSII françaises, le groupe Sopra Steria a publié un chiffre d’affaires combiné de 3,37 milliards d’euros en 2014. Les seuls revenus de Sopra ont progressé de 9,9% sur un an et ceux de Steria de 7,5%.
IBM, HP… et une brochette d’acteurs français bien décidés à se faire une place au soleil de la cybersécurité. Un marché en croissance de 10 % par an, qui explique les investissements que consentent ces sociétés pour se renforcer sur le segment.
Des salariés toulousains de Cimpa, filiale PLM d’Airbus, font grève ce jeudi 29 janvier. Ils s’opposent à la vente de leur entreprise. Les SSII Sopra-Steria et Infosys pourraient la racheter.
Selon nos informations, les deux SSII françaises, et très certainement d’autres, font l’objet d’une enquête administrative de la part de l’Autorité de la concurrence. Des bureaux ont été placés sous scellé et des ordinateurs saisis.
La fusion-absorption de la SSII Steria sera effective au 31 décembre 2014. L’accord prévoit la réorganisation du nouvel ensemble Sopra Steria Group en quatre entités.
La SSII a reçu un procès-verbal pour infraction aux dispositions relatives à la durée de travail au sein de son établissement de Meudon-la-Forêt. Une pénalité de 200 millions d’euros est évoquée.
La fin de l’écotaxe met en difficulté la société Ecomouv chargée de mettre en œuvre le projet de recouvrement de la taxe poids lourds. Un projet M2M majeur.
En réunissant environ 80 % des actions de sa cible, Sopra franchit avec succès le premier jalon menant à sa fusion avec Steria. Place maintenant au rapprochement opérationnel entre les deux sociétés.
A l’occasion des résultats semestriels des SSII, évaluation des forces en présence dans l’Hexagone. Avec Capgemini, OBS, Sopra et GFI qui rient. Et Atos, CGI ou encore Steria qui pleurent.
La SSII a publié des résultats semestriels en hausse au début de l’année en 2014 et se prépare à la fusion avec Steria.
A la veille de son processus de fusion avec Sopra, le Groupe Steria avance des résultats solides au premier semestre, essentiellement portés par la hausse d’activité au Royaume-Uni.
En montant au capital de CS, la société de services de Yazid Sabeg, Sopra se pose en acteur clef de la consolidation des SSII en France. Un éventuel rachat de CS constituerait un renfort de poids dans la défense, l’espace et l’aéronautique.
Trois ans après le rachat du cabinet allemand BARC, le groupe CXP, basé à Paris rachète le groupe Pierre Audoin Conseil (PAC), pour un montant non communiqué.
Une démarche inamicale visant à perturber les négociations avec Sopra : c’est ainsi que Steria qualifie les approches d’Atos. L’hypothèse d’une bataille entre les deux candidats à la reprise de la SSII dirigée par François Enaud s’éloigne.
En remplacement de Pascal Leroy, Vincent Paris sera chargé, après le 1er mai, de la gestion opérationnelle de Sopra jusqu’au rapprochement effectif avec Steria, prévu cet été. Cette passerelle offerte par le fondateur, Pierre Pasquier, fait de lui le prochain n°2 opérationnel du nouvel ensemble, qui sera dirigé par François Enaud, actuel gérant de Steria.
En plus de l’offre de Sopra, Steria a également reçu une proposition de rachat d’Atos. Un rapprochement qui aurait permis à la SSII de Thierry Breton de devenir numéro deux sur le marché européen.