Oracle vient de lancer une nouvelle version majeure de l’outil de virtualisation Desktop VirtualBox. Rappelons que ce dernier est accessible gratuitement et sous licence open source, un pack d’extension commercial (gratuit pour un usage privé) étant disponible séparément.
Des caractéristiques en hausse
Les machines virtuelles 64 bits pourront dorénavant se voir attribuer un maximum de 1 To de mémoire vive chacune.
Le logiciel sera également en mesure de faire fonctionner plus d’un millier de machines virtuelles simultanément. De quoi répondre aux besoins les plus extrêmes. Oracle précise que les fonctionnalités d’accès à distance aux machines virtuelles ont été améliorées.
Enfin, la firme a ajouté une fonction de clonage des machines virtuelles, en utilisant au besoin une technologie de clones liés. Une fonctionnalité de déduplication des données qui permettra d’économiser de l’espace disque.
Un support enfin complet de Windows 7 ?
Sous Windows, un nouveau pilote graphique expérimental est de la partie. Il permettra d’activer Aero sous Windows 7. Il offrira également un support amélioré de la 3D accélérée. D’autres efforts ont été consentis sur les OS tiers.
Sous Linux, il sera ainsi possible d’accéder directement aux cartes PCI installées au sein de la machine. Sous Solaris, un nouveau pilote réseau virtuel est proposé. Il est capable de tirer profit de la couche de virtualisation réseau Crossbow. Ces avancées permettront de booster l’efficacité des machines virtuelles en terme d’entrées/sorties.
Quels sont les impacts immédiats de l'IA générative sur la cybersécurité ? Comment le contexte…
Un éditeur attire l'attention sur des attaques exploitant l'absence d'autorisation dans une API du framework…
Après un premier financement en septembre 2023, Amazon a débloquer le reste de l'enveloppe qu'il…
D'Alpine Linux à XPipe, voic les dernières entrées au SILL (Socle interministériel de logiciels libres).
Le comité de l'IA générative établi en septembre 2023 par le Gouvernement a formulé ses…
L'UE multiplie les enquêtes et les procédures de non-conformité contre des entreprises soumises au DMA.