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VMworld 2008 : BMC se voit comme « la Suisse de la virtualisation »

Cannes._Profitant de cet évènement cannois, BMC a annoncé la disponibilité immédiate de Tripwire Enterprise for VMWare ESX Server, la première solution du marché permettant de garantir la conformité et la sécurité des environnements virtualisés en fonction de règles.

Commercialisé exclusivement par BMC et Tripwire Inc., Tripwire Enterprise for VMware ESX Server aide les directions informatiques à contrôler l’intégralité de leurs services métier pour obtenir et préserver un état connu, sécurisé et conforme de leurs infrastructures. Dans le cadre de ce partenariat stratégique ayant pour objectif d’automatiser la conformité continue des environnements informatiques hétérogènes, les clients de BMC pourront bénéficier de l’ajout de Tripwire for VMware ESX Server à leurs solutions existantes BMC Software Service Automation.

Ce nouveau produit sans agent pour VMware ESX Server permet d’assurer une conformité continue avec les standards opérationnels, réglementaires ou de sécurité. Tripwire Enterprise for VMware ESX Server offre une solution immédiatement opérationnelle et des politiques d’évaluation des configurations spécifiques permettant aux entreprises d’adopter une gestion proactive.

Tripwire propose une association entre des politiques basées sur les benchmarks CIS et la capacité de détection des changements de l’infrastructure non conformes aux politiques de sécurité permettant de contrôler l’ensemble des changements de configuration susceptible d’affecter l’hyperviseur.

La parole à Peter Armstrong

« La virtualisation va permettre de créer des data centers dynamiques. Les données et les applications, tout sera automatisé. La mission de BMC, est d’aider la gestion de ces données, car cela peut rapidement s’avérer être un calvaire pour un responsable IT. La consolidation des data centers est une bonne chose, seulement il faut pouvoir maîtriser ce qui se passe dans un environnement virtuel. C’est une vraie révolution pour les administrateurs. BMC est un partenaire stratégique privilégié de VMware depuis plus de quatre ans. D’un point de vue technique, les ingénieurs de VMware développent des API avec l’architecture BMC en tête. Nous travaillons également avec HP, SUN, IBM. Pour nous, il est important de travailler avec tous les acteurs afin d’offrir la plus grande interopérabilité. Car c’est aussi cela la virtualisation. Nous sommes un peu la Suisse de la virtualisation »

« Il me semble qu’il s’agit d’une priorité, pourtant, j’ai le sentiment que pour l’instant, les responsables IT, cherchent encore le meilleur hyperviseur et pas encore une solution d’accompagnement. BMC a une longue expérience de l’administration des systèmes, et nous souhaitons apporter notre expertise dans le domaine de la virtualisation. Nous comprenons les problèmes de mise en conformité, de gestion des données et des risques. Toutes ces problématiques ne disparaissent pas dans un environnement virtuel, elles sont simplement différemment gérées. La virtualisation doit être simple, sinon cela ne sert à rien d’utiliser cette technologie. »

« Je pense d’ailleurs que les administrateurs sont conscients de ce problème. Il y a un exemple qui illustre bien ce phénomène, certains responsables consolident leurs centres de données, mais ils préfèrent conserver leur hardware dans un coin au cas ou… cela montre bien qu’il existe une certaine crainte quant à la gestion des données dans un environnement virtuel. Conséquence, ils ne profitent pas de la consolidation. »

« La force de BMC est d’aider les administrateurs à comprendre la virtualisation et de faire le lien entre l’ancien monde physique et la nouvelle approche de virtualisation. Il faut également encore évangéliser les futurs utilisateurs de ces solutions. Il n’y a pas que VMware qui propose de la virtualisation. Les débats sur la virtualisation sont souvent trop techniques. Il est impératif de le simplifier et montrer concrètement ce que cela apporte en terme de gain de productivité. Car finalement, la seule raison pour l’IT d’exister, c’est pour le « business ». Et au final, c’est le « board of directors » qui décide et signe le chèque après discussion. Alors, arrêtons de parler avec des acronymes, il faut rester pragmatique et simple. »

« Si un administrateur va voir son supérieur en lui expliquant qu’il a découvert une technologie qui permet d’économiser 50 millions d’euros par an, il a plus de chance de voir un jour la virtualisation s’imposer dans son écosystème. La principale différence entre BMC et la concurrence, c’est que nous voulons adresser les problèmes de business pas les problèmes techniques. L’unique raison pour adopter la virtualisation est de maintenir la croissance d’une entreprise. L’IT est un « business service », c’est essentiel de bien comprendre cela. Il faut expliquer l’apport de la technologie aux entreprises et pas uniquement l’aspect technique. »

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Ne manquez pas notre web-conférence sur « La virtualisation dans le secteur public – Un enjeu spécifique ?« , Mardi 18 mars 2008 à 11h00 (50 mn), conférence « live » en partenariat avec Dell, VMware, IDC et avec le témoignage d’Eric Hirlimann, DSI du Centre René Huguenin (centre de lutte contre le cancer) « La virtualisation dans le cadre d’un PRA ». Animé par Silicon.fr / VNUnet.fr. Il vous suffit de cliquer ici pour vite vous inscrire!

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