Sans TPM 2.0*, pas de Windows Server. C’est, dans les grandes lignes, le message que vient de faire passer Microsoft.
La rupture n’est pas pour tout de suite. Elle interviendra avec la « prochaine version majeure » de l’OS* – qu’on peut supposer être celle distribuée sur le canal semi-annuel.
Cette dernière ne fonctionnera qu’avec les serveurs sur lesquels ce module de sécurité est intégré et activé par défaut.
De telles configurations garantiront l’accès, sans paramétrage supplémentaire, à des fonctionnalités telles que BitLocker. Ou encore Secure Boot, qui devra d’ailleurs être enclenché en standard sur toutes les plates-formes serveur vendues après le 1er janvier 2021.
Microsoft promet un niveau additionnel de certification qui aidera à identifier les équipements existants compatibles.
* Le TPM (module de plate-forme sécurisée) repose sur un processeur de chiffrement. Dans l’univers du PC, il est notamment à la base de l’approche Secured-Core.
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