xVM Ops Center : Sun administre la virtualisation

Sun annonce une suite d’outils d’administration qui vient compléter son hyperviseur xVM

La bataille des serveurs ne porte quasiment plus sur les plates-formes matérielles, qui se ressemblent de plus en plus et proposent des fonctionnalités équivalentes, mais porte désormais sur l’administration et la virtualisation.

Sun consolide les deux approches et après xVM, son hyperviseur construit sur Xen, annonce sa suite d’outils d’administration xVM Ops Center 1.0, particulièrement à l’aise sur l’automatisation des datacenters, la gestion simultanée de milliers d’actifs et le HPC (calcul).

Cette console d’infrastructure de gestion unifiée autour de la virtualisation permet d’identifier et de monitorer l’infrastructure déployée dans l’entreprise, de gérer les systèmes d’exploitation, avec les mises à jour et les patchs, de gérer les mises à jour de firmware, ainsi que les composants matériels en production sous Linux et Solaris 9, en environnements x86 et Sparc.

« Les exigences professionnelles liées à la demande sont en train de créer une croissance exceptionnelle de datacenters plus complexes, et les administrateurs ont besoin pour gérer l’augmentation des volumes de données, des applications, et des gens sur le réseau, ainsi que la prolifération rapide des serveurs et des systèmes d’exploitation invités », a déclaré Steve Wilson, vice-président xVM chez Sun Microsystems.

« Comme Sun xVM Ops Center est une combinaison unique de découverte des actifs, de suivi de l’inventaire, de provisionnement du système d’exploitation, et de capacités de gestion des mise à jour de firmware et de patch, les clients peuvent automatiser un certain nombre de tâches à l’échelle globale pour améliorer leur temps d’accès au marché et leur productivité afin de répondre à une attente de niveau de service toujours plus exigeante. »

Cerise sur le gâteau, une distribution de Sun xVM Ops Center sera disponible gratuitement par téléchargement. Le support commercial est proposé par abonnement, prenant en charge les services et les réseaux, avec un premier prix agressif à partir de 100 $ par serveur géré, et jusqu’à 350 $ selon le service demandé.