Open Cloud Hybride : une fondation technologique pour l’avenir

Pour répondre aux besoins techniques actuels et futurs des entreprises, les solutions Red Hat façonnent une vision ouverte et collaborative de l’avenir «Kubernetes-native»

 

 

 

 

Fondation technologique « Open » : idéal dans le cadre d’une stratégie de Cloud Hybride

Les organisations veulent éviter de se retrouver enfermées dans une seule technologie, sans visibilité – à la fois sur son mode de fonctionnement, ses compositions techniques et donc la pérennité des composants, et aussi, et surtout, son avenir et sa vision. « Quand tout est ouvert, au travers des projets communautaires auxquels nous contribuons, cela permet aux usagers et aux clients d’avoir tous la même vision. Il existe alors une transparence totale sur le contenu, car le code source est accessible à tous » explique Yacine Kheddache, Specialist Solution Architect Manager, Red Hat France. « De multiples acteurs établissent ensemble la roadmap, personne ne dicte sa loi – une différence fondamentale par rapport aux éditeurs “closed source”  ». 

Kubernetes, “le nouveau Linux” ?

Yacine Kheddache constate en effet un engouement fort ces cinq dernières années sur Kubernetes et tout l’écosystème qu’il tire car cette solution facilite l’agilité tant désirée. « L’adoption du DevOps est, techniquement parlant, enfin quelque chose de concret grâce à la containerisation et l’orchestration des containers avec Kubernetes ». Celui-ci remarque que les éditeurs classiques et leur écosystème se containerisent aussi et évoluent vers le « Kubernetes-Native ». « Cela signifie que tout a été pensé et développé dès le début pour fonctionner sur Kubernetes et en tirer la quintessence. C’est ce qui fait que Kubernetes est autant fédérateur ». Un vrai changement de paradigme.

 

OpenShift et Red Hat Enterprise Linux : faciliter le passage à l’échelle

Red Hat joue un rôle de guide dans l’écosystème Kubernetes avec une plateforme Red Hat OpenShift clé en main et des solutions sélectionnées au sein de la communauté bouillonnante de la Cloud Native Computing Foundation (CNCF). L’objectif affirmé de l’éditeur est de libérer le potentiel des développeurs pour gagner en agilité et en autonomie (portail et catalogue de service) et réduire le “Time To Market”. Le tout sans aucun compromis sur la sécurité et les impératifs d’environnement critiques de production. Sa démarche Open Cloud Hybride repose sur trois piliers pour pouvoir faciliter l’hybridation et assurer la portabilité des applications d’un environnement à l’autre. D’abord, la plateforme Openshift pour garantir le côté agnostique, peu importe l’infrastructure sous-jacente (cloud privé, public, virtualisation, serveurs physiques ou edge computing). Deuxièmement, le management et la gestion multi-cloud Kubernetes avec la solution Red Hat Advanced Cluster Management. Enfin, la partie applicative au travers une marketplace qui met en avant l’écosystème Red Hat : car une plateforme d’hybridation, de containerisation, de virtualisation sans applications est inutile.

« Nous créons des passerelles permettant d’aller de l’ancien au nouveau monde. Aujourd’hui, on a, et on aura toujours, besoin d’avoir du Red Hat Enterprise Linux sur des gros serveurs physiques, des machines virtuelles, du Cloud public, etc. » remarque Yacine Kheddache. Cependant, pour gagner en agilité et faciliter le déploiement des applications et la gestion de leurs cycles de vie, OpenShift et les bénéfices de Kubernetes sont essentiels. « L’apport d’OpenShift (et Kubernetes en général) dans le cloud hybride sera semblable à ce que Linux a apporté dans les datacenters. L’idée est de faciliter l’adoption des workloads dans le monde OpenShift, et ce, dans le cadre de la modernisation du parc applicatif. »

 

Pour en savoir plus sur le Cloud Hybride Ouvert de Red Hat