Conférence Re:Invent 2018 : AWS a levé le voile sur ses puces baptisées Graviton. Ces dernières supportent les nouvelles versions de son service de cloud computing EC2 A1.
Le processeur Graviton d’AWS alimentent en effet les instances Amazon EC2 A1, ciblant les charges de travail évolutives telles que les serveurs Web, les flottes de mise en cache et les charges de travail de développement.
Ces nouvelles instances offrent des coûts jusqu’à 45 % inférieurs et rejoindront les 170 types d’instances différents pris en charge par AWS. Baptisées EC2, elles peuvent exécuter des applications écrites pour Amazon Linux, Red Hat Enterprise Linux et Ubuntu. Elles sont généralement disponibles dans quatre régions : l’Est des États-Unis (Virginie du Nord), Est des États-Unis (Ohio), Ouest des États-Unis (Oregon) et en Europe (Irlande).
C’est Peter DeSantis, vice-président de l’infrastructure au sein d’AWS, qui a présenté lundi dernier le processeur AWS Graviton, ajoutant une troisième option de CPU (en plus des processeurs signés Intel et AMD) pour les clients du cloud.
AWS est toutefois resté laconique sur les spécifications du processeur Graviton, Peter DeSantis se contentant de préciser qu’il était parfaitement adapté aux charges de travail évolutives qui tirent parti de nombreux serveurs afin de résoudre un problème.
Afin de développer son processeur pour serveur à technologie ARM, AWS s’est appuyé sur son acquisition d’Annapurna Labs en 2015.
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