Les extensions sont gérées au travers d’un nouveau gestionnaire, assez similaire – en termes de fonctionnalités – à celui présent dans le navigateur web Mozilla Firefox. On y retrouve des modèles complémentaires, des dictionnaires, mais aussi des ajouts pour la suite bureautique. 180 extensions sont aujourd’hui disponibles (toutes langues confondues).
De façon générale, nous avons tout particulièrement apprécié les extensions créées par Sun Microsystems, par exemple celle permettant l’import de documents PDF dans Draw. Sans être parfaite, elle est unique sur le marché.
Les extensions ne sont que la partie cachée de l’iceberg, OpenOffice.org acceptant les macros écrites en Python, Java, JavaScript ou même Basic. Le langage Basic est toujours intégré en standard, mais il n’évolue que peu dans OpenOffice.org 3.0.
Ce dernier est livré avec un éditeur complet et un outil de création d’interface. Cet outil est un peu vieillot, mais toujours aussi puissant. Nous avons toutefois l’impression que les développeurs conservent OpenOffice.org Basic uniquement à fin de compatibilité avec les versions antérieures de la suite bureautique. Dommage.
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