Au pays des cow-boys et des rangers, les éditeurs de logiciels vont-ils devenir les prochains commanditaires des chasseurs de primes ? Après Microsoft, c’est au tour de SCO, lui aussi victime de la cabale des pirates informatiques, d’offrir une prime pour l’arrestation de l’auteur du virus qui l’a agressé. Et cette initiative s’ajoutant, bien entendu, à sa collaboration avec le FBI et les services secrets américains.
250.000 dollars pour la délation de l’auteur de Mydoom ! Depuis une dizaine de mois, c’est-à-dire depuis que SCO fait front contre la communauté Linux en revendiquant ses droits intellectuels sur le système libre, l’éditeur d’Unix est la cible de multiples attaques. Il continue d’affirmer, il est vrai, qu’une partie du code aurait été purement et simplement copiée d’Unix, en particulier par IBM. Si parfois les réactions de SCO frôlent la paranoïa, comme le recrutement de gardes du corps, il est avéré que l’éditeur est victime, au même titre que Microsoft, de méchantes attaques virales. « Nous ignorons les origines ou les raisons de ces attaques, mais nous avons quelques suspicions » a déclaré Darl McBride, le patron de SCO. « C’est une activité criminelle qui doit être stoppée.« .
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