Un employé de l’
U.S. Department of Veterans Affairs, qui avait dérogé aux règles imposées par son administration, possédait chez lui, sur un ordinateur portable, le fichier d’identité des vétérans de l’armée américaine et de leurs conjoints. Etabli depuis 1975, le fichier renfermait les noms, numéros de sécurité sociale, dates de naissance et diverses autres informations non révélées, concernant 26,5 millions de vétérans. Le FBI se veut rassurant: il y a peu de risque que le fichier soit exploité, le vol en effet fait partie d’un ensemble de larcins commis dans le quartier où réside l’employé, il s’agirait donc probablement d’une rapine classique et sans visée stratégique Pour autant, même s’il ne s’agissait d’une banale affaire de vol, le risque d’une dérive mafieuse par usurpation d’identité reste possible. Cette éventualité n’est pas écartée, comme dans toutes les affaires similaires qui sont révélées aux Etats-Unis – depuis que certains Etats obligent la communication des vols. Aux Etats-Unis, la carte d’identité se satisfait d’une simple fiche cartonnée qui peut être un permis de conduire, et le numéro de sécurité sociale fait office d’identifiant pour de nombreuses opérations. Le risque d’usurpation d’identité est donc plus difficile à gérer, surtout lorsque 26,5 millions d’identités se retrouvent dans la nature.
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