Il aura suffi du vol d’un ordinateur portable sur un bureau de l’Université de Berkeley pour que s’envolent les coordonnées sociales de 100.000 diplômés d’un doctorat depuis 1976, et des adresses d’un tiers d’entre eux.
Pour les responsables de l’Université, il s’agit probablement d’un vol purement crapuleux destiné à revendre l’ordinateur, mais pas d’un détournement de fichier destiné à exploiter des techniques mafieuses d’usurpation d’identité. Il n’empêche qu’en trois affaires (lire nos articles), ce sont près de 300.000 coordonnées d’américains qui se retrouvent dans la nature ! Le vol étant localisé en Californie, la loi sur l’information des personnes figurant sur la base dérobée s’applique. Ce qui d’ailleurs a permis de rendre l’information publique ! Et l’Université de se trouver confrontée à une problématique inattendue : comment informer 100.000 individus dispersés aux quatre coins du globe, et qui pour la majorité d’entre eux ne sont plus qu’un nom et un prénom ?
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