Le Parlement européen a fermé ses réseaux WiFi publics en début de semaine après y avoir détecté des attaques. Dans un mémo, l’organisme admet avoir été victime d’une attaque de type « man-in-the-middle » qui consiste pour un pirate à se glisser dans un processus de communication afin de récupérer de l’information.
Ici, en l’occurrence, des informations issues des smartphones se connectant aux réseaux sans fil de l’institution. « La conséquence est que certaines boîtes mail individuelles ont été compromises », explique le service desk dans son mémo, précisant que les utilisateurs concernés ont été contactés et invités à changer leur mot de passe.
Par sécurité, l’informatique du Parlement demande également aux utilisateurs d’installer un certificat sur tous les terminaux se connectant aux systèmes d’information internes. Et préconise, pour tous, le changement de leurs mots de passe donnant accès aux mêmes systèmes.
Voir aussi
Silicon.fr étend son site dédié à l’emploi IT
Silicon.fr en direct sur les smartphones et tablettes
Microsoft expérimente, sous la marque ZTDNS, une implémentation des principes zero trust pour le trafic…
Accord de principe entre créanciers, propositions de reprise, discussions avec l'État... Le point sur le…
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…