L’informatique dans le nuage, le cloud computing, s’impose de plus en plus, aidée en cela par son modèle de facturation très flexible. La ressource informatique n’est plus ici acquise, mais consommée à la demande. Voir à ce propos notre dossier spécial cloud – « l’état de l’art du cloud ouvert ».
Dans ce secteur en pleine ébullition, les solutions ouvertes, garantes de l’interopérabilité entre les offres, ont le vent en poupe. Et quoi de mieux que l’open source pour assurer cette ouverture et cette interopérabilité ? Ceci explique en grande partie le succès massif d’OpenStack. Un succès qui s’est confirmé au cours de l’été, au travers de nouvelles annonces :
Nous avons profité du calme de l’été pour nous entretenir avec Raphaël Ferreira, cofondateur d’eNovance, une société très investie dans le développement d’OpenStack et qui est aussi un partenaire stratégique du cloud souverain Cloudwatt :
Autre acteur fortement impliqué dans le développement OpenStack, SUSE. La société a présenté l’offre SUSE Cloud 2.0 pendant l’été. Philippe Desmaison, technical manager chez SUSE, nous a également expliqué pourquoi OpenStack allait tout rafler :
Le ciel semble totalement découvert pour OpenStack. Ses promoteurs et utilisateurs n’ont toutefois pas tous eu toujours de la chance. La Nasa, qui est pourtant à la base de ce projet avec l’hébergeur Rackspace, a ainsi complètement raté son adoption du cloud :
Crédit photo : © Kuzma – Shutterstock
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