C’est le septième plan social en quatre ans qui touche le groupe. Les suppressions de poste concernent
180 personnes en production et 70 en externe. Au total c’est donc 250 postes en moins sur 880 salariés. En cinq ans, l’usine girondine de la filiale du groupe américain de sous-traitance micro-électronique aura ainsi perdu 1.500 emplois permanents, et a cessé d’employer 2.000 intérimaires. « La moitié de ces pertes d’emplois est due à l’éclatement de la bulle Internet en 2001 et l’autre aux délocalisations vers les pays low-cost », analyse Maurice Bonnet, délégué CFDT. Solectron délocalise certains marchés vers d’autres usines du groupe dans des pays à plus faibles coûts. Ainsi un marché pour Schneider vient d’être confié à Solectron-Roumanie, et un autre pour Lucent à Solectron-Hongrie. Malgré des gains de nouveaux marchés dans le domaine aéronautique et de défense, Maurice Bonnet avoue craindre que ce nouveau plan social ne soit pas encore le dernier il a ainsi déclaré dans les colonnes de la Tribune : « Cela va toucher un tiers des salariés, l’on s’attendait à un plan mais pas de cet ampleur ».
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