On le sait, le géant Siemens possède deux branches malades qui plombent ses comptes depuis plusieurs années. La filiale Com (téléphonie et équipements) a en partie été cédée au taiwanais BenQ qui récupère les mobiles. De son côté, la filiale de services informatiques SBS, est sujette à une série de rumeurs depuis de longs mois.
La presse a ainsi évoqué un mariage entre SBS et le français Atos Origin qui créerait le numéro deux européen du secteur, avec un chiffre d’affaires de 9 milliards d’euros. D’autres rumeurs faisaient état d’une reprise de certaines activités de SBS (en l’occurrence la branche Operation Related Services) par le français. Mais aujourd’hui, Siemens entend remettre les pendules à l’heure. Dans un entretien au journal économique allemand Handelsblatt, le président du directoire, Klaus Kleinfeld, a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de vendre Siemens Business Services. « Notre objectif est de rendre SBS compétitive », a notamment indiqué le dirigeant de Siemens. En attendant, la restructuration de SBS se poursuit. Après la suppression de 275 emplois décidée en 2004, le groupe a confirmé un plan social visant 2.400 postes sur deux ans. Ce plan social touchera principalement l’Allemagne. Il s’agit de réduire de plus de 1,5 milliard d’euros les coûts de cette branche. SBS emploie environ 16.000 personnes.
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