La longue liste noir des plans sociaux s’allonge encore un peu plus chez les opérateurs télécoms américains. Après AT&T et Global Crossing (voir nos articles), c’est au tour de Sprint d’annoncer une nouvelle charrette.
L’opérateur compte supprimer 700 emplois supplémentaires après une première vague de 7.000 licenciements cette année. Ces suppressions (au total, plus de 10% des effectifs) toucheront sa division solutions pour les entreprises dans le cadre d’un recentrage sur le sans fil et les télécommunications à partir d’internet. Sprint cessera de vendre aux entreprises des services indépendants comme la longue distance, en raison d’une vive concurrence dans ce secteur, pour proposer des produits par paquets, ainsi que des services sans fil et internet. Les nouvelles pertes de postes se feront par des départs naturels, par des départs volontaires et par des licenciements.
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