Allemagne, Finlande, Irlande, Israël, Pays-Bas, Portugal et Royaume-Uni. Ils sont sept pays d’Europe à avoir au moins un représentant dans les rangs de l’AI Infrastructure Alliance.
Cette organisation existe depuis plus d’un an et demi, mais n’a que récemment officialisé sa constitution. Son objectif : contribuer à établir un « OpenStack du machine learning ». Ou tout du moins s’en approcher, à renfort d’autant de solutions open source/open core que possible. Sans s’interdire de recourir à du SaaS propriétaire pour faciliter le passage à l’échelle.
Le gros de l’effectif se compose de start-up et de PME, avec un noyau important dans la Silicon Valley. Aucun « grand » n’est de la partie.
La diversité des membres européens illustre l’approche « full-stack » de l’AI Infrastructure Alliance. Exemple avec :
D’autres membres européens ont une offre plus globale sous la bannière MLOps. Parmi eux, Seldon (Royaume-Uni), Maiot (Allemagne) et Valohai (Finlande).
L’AI Infrastructure Alliance entend promouvoir l’ouverture sur l’ensemble de la pile, jusqu’aux API. Elle pousse aussi l’anonymisation à travers des technologies comme le chiffrement homomorphe et la vie privée différentielle.
Photo d’illustration © putilov_denis – Adobe Stock
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…
Silicon et KPMG lancent la deuxième édition de l'étude Trends of IT. Cette édition 2024…
Le ministère de l'économie a adressé une lettre d'intention à la direction d'Atos pour racheter…
Directeur Technologie de SNCF Connect & Tech, Arnaud Monier lance une campagne de recrutement pour…