En 2006, Bull décide de miser sur les services. La transformation du groupe ou plutôt son changement de spécialisation s’expliquait alors par des performances plutôt médiocres, si ce n’est justement pour la division « Services ». L’objectif était alors de réaliser au premier trimestre 2008, 50% de son activité dans les services contre 33% en 2007.
Mais les choses prendront un peu plus de temps que prévu. « Notre stratégie services reste la même et fonctionne bien, car nous croissons deux fois plus vite que le marché, mais notre objectif a été retardé de dix-huit mois, compte tenu de l’évolution des marchés boursiers », explique aux Echos Didier Lamouche, p-dg de Bull.
Car Bull entendait procéder à quelques acquisitions pour renforcer ses positions dans le service. Mais la crise financière actuelle n’incite pas aux rachats. Et les quelques tentatives passées, notamment avec GFI Informatique, ont avorté.
Reste que le groupe est bel et bien reparti de l’avant en 2007. Outre les services, Bull mise avec un certain succès sur le calcul intensif. En mai dernier, pour la première fois en cinq ans, il se met à recruter après avoir largement réduit la voilure : 7.200 salariés en 2006 contre 47.000 personnes en 1989 !
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