Situation de crise chez Microsoft. L’éditeur s’est tout simplement fait voler une partie du code source de Windows 2000 et de Windows NT4, si jalousement gardé. L’affaire, révélée par des sites spécialisés, a été confirmée par le porte-parole de la firme, Tom Pilla.
Le vol a été pratiqué sur le réseau même de l’éditeur. Il porterait sur 30.915 fichiers, totalisant 13,5 millions de lignes de code. Cependant, ce ne sont pas les sources complètes des deux OS: la totalité des sources pèserait 80 giga-octets, alors que la « fuite » n’en compte « que » 600 Mo. Le larcin circule actuellement sur les réseaux et même, selon certaines sources, sur les réseaux de ‘peer-to-peer’ permettant aux hackers une exploitation qui pourrait se transformer en cauchemar pour les utilisateurs. Autre conséquence, une version alternative de Windows pourrait voir le jour, un cauchemar cette fois-ci pour l’éditeur de Redmond. Selon la presse en ligne américaine, certaines failles sont commentées dans certains codes sources mis en ligne : « // this option overflows the buffer (…) // Check for buffer overflow – dynamically resize if necessary « . Excellent mais inquiétant. Du côté de Microsoft, on a sorti l’armée des avocats. Mais on essaie de garder la tête froide. Une performance. Le communiqué évoque un vol « illégal d’une partie incomplète du code de Windows 2000 ». Et d’assurer que ce vol « n’aura aucun impact sur les utilisateurs ». Bon, espérons.
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