La dernière version (5805, 5807) du fichier de définition des ‘spywares’ de Microsoft réagit étonnement au contact de l’antivirus Norton Antivirus de Symantec , qu’il assimile à PWS.Bancos.A, un ‘
password stealer‘ (voleur de mots de passe). Pour une raison qui reste inconnue, l’utilisateur de Norton se voit alors conseillé de désinstaller l’application. Mais si l’utilisateur s’exécute, le produit de Symantec se trouve corrompu et la machine n’est plus protégée. Pour relancer la protection de son système par Norton Antivirus, l’utilisateur se voit contraint d’accéder à la base de registres de Windows et de supprimer de multiples entrées. A partir de là, Norton peut être complètement effacé et enfin réinstallé. Seule limitation à cette manipulation, elle est très fortement déconseillée aux utilisateurs de PC non informés, c’est-à-dire à la grande majorité des victimes du défaut de l’anti-spyware de Microsoft. En reliant le nombre de postes qui ont installé Microsoft Anti-Spyware – qui rappelons-le est proposé gratuitement – au nombre de postes protégés par Norton Antivirus, comme l’évoque le Washington Post, l’étendue du problème est? difficilement mesurable, mais pourrait se révéler catastrophique. Sauf que Microsoft pourra toujours se réfugier derrière un argument de poids: son anti-spyware est encore en version ‘beta’? Imparable !
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