La « mise à jour corrective automatique des machines virtuelles » est disponible en préversion sur Azure.
Cette fonctionnalité permet d’installer automatiquement les patchs, dans les 30 jours suivant leur publication sur Windows Update. On y accède sur opt-in (la documentation précise la procédure).
Cinq éditions de Windows Server sont pour l’heure prises en charge :
En l’état, la mise à jour corrective automatique ne peut se paramétrer qu’à la création des VM*. Elle implique l’installation d’une extension. L’activation de cette dernière peut prendre « plus de trois heures », prévient Microsoft. La raison ? Le processus se fait en dehors des « heures de pointe » d’Azure.
L’application des patchs suit la même règle… et respecte un « principe de disponibilité ». Celui-ci induit plusieurs niveaux d’orchestration :
* On peut, en revanche, basculer ensuite à tout moment vers une gestion manuelle des patchs. Le mode automatique laisse aux admins la possibilité de contrôler, en dehors du cycle mensuel, la disponibilité de correctifs.
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