Standardiser les SSD NVMe pour le datacenter : c’est l’un des axes de travail de l’Open Compute Project. Parmi les usages qu’englobe la démarche, il y a la mémoire cache. Facebook, en particulier, s’est impliqué sur ce volet, en développant CacheLib.
Voilà quatre ans que le groupe américain a commencé à intégrer ce moteur sur son infrastructure. Il l’exploite aujourd’hui, entre autres, sur son stockage bloc, son CDN et son « graphe social ». Des collaborations sont en cours avec Twitter et Pinterest. Le premier compte faire la jonction entre avec son framework Pelikan. Le second vise une intégration sur ses systèmes de machine learning.
CacheLib propose un mode « hybride ». Dans les grandes lignes, il permet, lorsque le cache DRAM est plein, de déplacer des données – par défaut, les plus froides – vers de la flash. Facebook en fait son principal point de communication à l’heure de placer le projet en open source.
CacheLib propose une API similaire à malloc (fonction d’allocation de mémoire du langage C). Il permet de gérer des objets (recherche, insérer, supprimer) sous la forme de paires clé-valeur.
Illustration principale © ZinetroN – Adobe Stock
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