Edmond Cohen, président, a expliqué que »
la liquidation a été prononcée à la suite d’une requête de France Télécom en résolution du plan de continuation. »
Explication: l’opérateur national historique était le principal fournisseur de Western Telecom. Selon le quotidien Les Echos, France Télécom en 2003 absorbait, à lui seul, un tiers du chiffre d’affaires.
Une partie du portefeuille de clients restants (200 clients environ, contre près de 3.000 en 1999) a été reprise par des opérateurs, dont B3G, et par un ancien responsable commercial.
L’offre de type Centrex notamment a connu ses belles heures, mais n’a pas suffisamment performé.
La mise en redressement judiciaire était intervenue en pleine crise du marché des télécoms, en mars 2001 et l’entreprise s’était refondée avec un plan de continuation en octobre 2002. Mais elle restait fragile: en 2005, les commissaires au compte avaient émis des réserves, constatant une perte d’exploitation de 1,5 million d’euros pour 7 millions de chiffre d’affaires (contre 9,3 millions en 1999).
Après une première levée de fonds, la société était entrée en Bourse en 1998 et avait ainsi engrangé 12 millions.
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