Tout l’histoire à commencé lorsque des utilisateurs ont constaté que le logiciel Apple Software Update leur proposait de passer à Safari 3.1, alors même qu’il n’était pas installé sur leur machine. Ce comportement est une façon non déguisée de forcer la main aux utilisateurs d’autres logiciels Apple, tels iTunes ou Quicktime.
À partir de là, le buzz s’est créé sur Internet, transformant cette maladresse en une véritable affaire d’état, très préjudiciable en terme d’image de marque.
Un fait a cependant été omis par les détracteurs de la firme californienne : Apple Software Update – qui porte fort mal son nom – a toujours proposé l’installation de l’ensemble des derniers logiciels Apple, quelque soit ceux qui sont effectivement présents sur la machine de l’utilisateur.
Ainsi, le webmaster qui utilise la version Windows de Safari, se voit offrir de mettre à jour ses versions de Quicktime et d’iTunes, même lorsque ces produits ne sont pas installés sur le PC ! Le phénomène n’est donc pas neuf, même s’il prend ici une toute autre importance (les personnes n’utilisant qu’iTunes étant bien plus nombreuses que celles n’utilisant que Safari).
La seule solution pour éviter ces demandes de « mise à jour » intempestives reste de désinstaller Apple Software Update, en espérant que la compagnie se décide à corriger ce défaut particulièrement sensible.
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…