Accéder aux codes sources du secteur public ? Il y a désormais un site web pour ça.
La mission Etalab vient d’en officialiser le lancement, en version alpha.
Y sont listés un peu plus de 2 000 dépôts émanant d’une centaine d’organisations et de groupes.
Le jeu de données sur lequel se fonde le site* n’englobe pour le moment que des comptes associés à des dépôts GitHub.
Les organismes qui souhaitent y apparaître peuvent envoyer les liens vers leurs dépôts ou proposer de modifier le fichier de la Dinsic relatif à la politique de contribution open source de l’État.
Cette politique, datée de mai 2018, impose aux organismes publics d’ouvrir les codes sources des logiciels qu’ils développent ou font développer. En tant que « documents administratifs », ces ressources sont soumises aux mêmes obligations que les bases de données.
Il existe un guide juridique interactif pour aider les organismes à déterminer si leurs codes sources relèvent de cette obligation.
Les deux codes sources les plus « étoilés » parmi ceux actuellement listés émanent du CEA. Il s’agit des frameworks Miasm (reverse engineering) et IVRE (cartographie réseau). Suivent la bibliothèque Spoon (analyseur de code Java) portée par l’Inria et la plate-forme d’analyse des cybermenaces OpenCTI.
* Méthode alternative d’appel au jeu de données : une API.
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