Le 9 septembre dernier, Capgemini douchait les marchés avec des résultats semestriels particulièrement médiocres. Même si le groupe se dit optimiste pour la fin de l’année, les analystes restent circonspects. Cap devait donc réagir pour rassurer.
C’est son président, Paul Hermelin, qui s’y colle. Selon le Figaro, il a rencontré les investisseurs afin de leur présenter un plan de route permettant l’amélioration de la marge opérationnelle et une croissance du chiffre d’affaires. Premier remède: des cessions d’actifs. Le groupe de services informatiques s’est fixé comme objectif de vendre des activités correspondant à 400 millions d’euros de chiffre d’affaires mais qui perdent 40 millions d’euros. Deuxième remède: la recherche d’un partenaire aux USA où les pertes d’exploitation sont les plus élevées. Cette quête illustre l’échec du rapprochement entre Cap et Ernst & Young en 2000: « Nous payons le prix d’une organisation qui a mis la confusion », expliquait Paul Hermelin. La fusion des deux géants n’a jamais porté ses fruits. Mais le temps presse. Cap accumule les pertes depuis 2002, 13.000 emplois ont été supprimés. Le cours de l’action a chuté de plus de 44% depuis le début de l’année. Et le rumeurs d’OPA sur le groupe bruissent à nouveau. HP est sur toutes les bouches…
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