Fruit du rachat du roumain GeCad et de l’israélien Pelican Software, le futur antivirus de Microsoft contrôlera les signatures virales et analysera les pièces jointes des e-mails.
Il aurait pu figurer dans les prochaines versions ou mises à jour de Windows, mais prudemment Microsoft a préféré en faire un produit à part entière, commercialisé séparément. Nul doute que Microsoft argumentera autour de sa position d’éditeur de Windows pour imposer sa solution virale, et que la concurrence risque d’être rude. Mais la réputation de fragilité des environnements Windows risque de peser sur l’antivirus signé Microsoft.
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