Après le ‘spam, les e-mails non sollicités et illégaux envoyés en masse sur les messageries des internautes, les principaux fournisseurs d’accès américains font le constat d’une nouvelle menace, équivalente au spam mais qui s’attaque aux messageries instantanées, le ‘spim’. Sept plaintes ont été déposées auprès des autorités de la justice fédérale des Etats dont relève le siège social de chaque membre de l’alliance anti-spam qui réunit AOL, Earthlink, le porte parole de l’alliance, Microsoft et Yahoo!. Ces plaintes exploitent pour la seconde fois le Can-Spam Act, la loi anti-spam entrée en vigueur aux Etats-Unis le premier janvier dernier. Les auteurs de ‘spim’ sont ainsi poursuivis sous la forme d’une ‘plainte contre X’ pour l’expédition de millions de messages publicitaires pour des sites pornographiques, de médicaments ou de services financiers, ainsi que pour usurpation de noms de domaine, objets mensongés, et utilisation abusive de plateformes d’e-mails en relais d’envoi massif de spam. Les auteurs, s’ils sont poursuivis et retrouvés, risquent de devoir verser 1 dollar par victime du spim et 25.000 dollars par jour d’expédition.
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