VUNet était à l’époque, il y a deux ans, une priorité pour le géant Vivendi-Universal. Symbole de la convergence des médias, avec Vizzavi, les activités Web du groupe ont bénéficié d’investissements colossaux et de rachats en série.
Remise à plat Aujourd’hui, les choses ont bien changé et le nouveau patron de Vivendi, Jean-René Fourtou, a bien l’intention de faire le ménage, par le vide. Car les pertes de 2002 (évaluées à 300 millions d’euros, les mêmes qu’en 2001) n’ont pas diminué malgré un premier plan de restructuration. Après la cession de Vizzavi (pour 140 millions d’euros – une vente « inespérée » pour Fourtou), d’autres ventes sont à l’ordre du jour. Mais un point inquiète les salariés: c’est que les acheteurs ne se bousculent pas au portillon. Des liquidations sont à prévoir. D’où la manifestation d’hier devant le siège de Vivendi. Les syndicats estiment que sur 1.353 départs au sein de la filiale internet, seuls 326 ont fait l’objet de mesures d’accompagnement.
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