Les ultraportables pourvus de puces ARM semblent très prometteurs. Ces produits devraient proposer une autonomie importante et des prix très bas (qui dépendront, bien évidemment, de l’offre et de la demande).
Toutefois, cette architecture processeur n’étant pas compatible avec les versions classiques de Windows, il est difficile de savoir si ces ultraportables remporteront un simple succès d’estime, ou envahiront le marché plus largement. ABI Research s’est penché sur cette question et estime que 163 millions d’ultraportables ARM seront vendus en 2015. Un chiffre colossal, qui ne sera toutefois atteint que si le prix de base de ces machines ne dépasse pas les 200 dollars.
Malgré l’optimisme de la compagnie, le doute reste permis. Les machines de Sharp (à partir de 2001), de Psion (à partir de 1997) ou même d’Acorn (son A4 ayant été lancé en 1992 !) ont connu des destinées bien plus malheureuses que celle prédite par ABI Research pour les ultraportables ARM.
Il est vrai que la situation est aujourd’hui différente : des concepteurs de processeurs comme Qualcomm et Freescale proposent des solutions spécifiquement adaptées à ce ‘nouveau’ marché. De plus, l’arrivée de grands constructeurs – comme HP, Lenovo ou Sharp – pourrait populariser ce concept auprès du grand public.
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