Dans un communiqué publié ce 22 novembre, Thomson a fait savoir qu’il acceptait d’investir à hauteur de 33% dans le capital de la jeune société, dont le montant n’a pas été révélé. L’entrée du groupe français arrange bien ses deux partenaires américains. Car la Commission de Bruxelles avait menacé Microsoft de poursuites judiciaires considérant que cette initiative renforcerait sa position dominante. La co-entreprise a pour mission de développer des solutions logicielles capables de bloquer le piratage de programmes numériques. L’enjeu du ‘DRM’ (
digital rights management) ou gestion des droits numériques se veut stratégique pour les éditeurs de programmes et les majors, puisqu’il s’agit bien d’interdire ou de strictement limiter la possibilité de reproduire des contenus de films, musique, jeux vidéo. L’un des objectifs est de juguler plus efficacement la contrefaçon. ( A suivre )
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