AT&T ne perd pas de temps. A peine son projet de rachat de BellSouth pour 67 milliards de dollars est-il officialisé que l’opérateur en dit plus sur les conséquences en matière d’emploi. Et les nouvelles ne sont pas bonnes.
Le groupe annonce son intention de supprimer 10.000 emplois environ entre 2007 et 2009, si l’acquisition réussit, soit environ 4% des effectifs combinés. Ces suppressions de postes s’ajouteront aux 26.000 qu’AT&T a déjà planifiées sur les trois années qui viennent, en conséquence de sa fusion en novembre avec SBC Communications. Encore une cure d’amaigrissement de plus pour les télécoms américaines qui semblent se reconcentrer autour de quelques ‘trusts’. Pour rappel, AT&T -qui était acculé à la faillite ou presque- a été « reconstitué » il y a quelques mois, suite à son rachat par SBC Communications, pour 16 milliards de dollars. Selon les analystes, la clientèle professionnelle du nouveau géant des télécoms constituera la moitié des 1000 premières entreprises américaines! Dans le cadre de cette fusion, il est prévu de regrouper Ma Bell avec quatre des sept Baby Bells originelles (existant dès avant le démantèlement d’AT&T en 1984). Le nouveau groupe se placera en tête des opérateurs télécoms dans le monde, devant Verizon Communications (qui a racheté MCI, ex Worldcom l’an passé).
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