Microsoft a publié une mise à jour de l’agent logiciel lié au service Azure Backup (sauvegarde et restauration de données dans le cloud). Cette dernière version (2.0.8694.0) simplifie l’authentification des utilisateurs. Elle assure aussi la prise en charge de Windows Server 2008 et abolit la limite de 850 Go par volume.
Mais la principale innovation, c’est le support des postes de travail équipés de Windows 7, 8 ou 8.1 en édition 64 bits : jusqu’alors, et depuis sa disponibilité générale en octobre 2013, Azure Backup ne gérait que les sauvegardes de systèmes sous Windows Server 2008 R2, 2012 et 2012 R2, selon nos confrères d’ITespresso.
Une fois l’agent logiciel installé sur les postes clients, il est nécessaire d’effectuer une première copie de sauvegarde. Le processus est ensuite incrémental : pour chaque fichier, seuls les blocs modifiés sont transférés vers le cloud. Les éléments sont chiffrés en local avant d’être envoyés sur une connexion HTTPS.
Pour se différencier des solutions concurrentes, Microsoft insiste sur la couche d’administration et de sécurité… mais aussi sur certaines « astuces ». Illustration avec les ordinateurs portables : les sauvegardes, même planifiées, ne s’exécutent que lorsque l’appareil fonctionne sur secteur.
Deux options de souscription sont proposées. Les plus petites entreprises opteront pour des emplacements de stockage individuels, c’est-à-dire associés à un seul PC. Au-delà de 25 machines, il faudra se tourner vers la deuxième offre : des emplacements pouvant chacun accueillir les données d’un maximum de 50 PC.
Dans les deux cas, l’usage du service est gratuit jusqu’à 5 Go stockés. Une fois franchi ce palier, la facture s’élève à 0,149 euro par mois et par gigaoctet.
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