S’il est réalisé, le projet surnommé « server in the sky », devrait contenir des informations très détaillées sur les criminels et les terroristes les plus dangereux, par exemple, des empreintes palmaires et des scans de l’iris…
L’initiative est à mettre au profit du FBI qui a présenté son idée lors d’une rencontre avec les services de cinq pays : l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, la Grande-Bretagne et les USA.
La NPIA britannique (National Policing Improvement Agency) l’organisme qui travaille sur la modernisation des moyens et des méthodes policières a déclaré :« qu’un tel système serait encore plus efficace s’il était associé à d’autres bases de données comme Ident1, qui cumule pas mois de 7 millions de données biométriques collectés sur des scènes de crime. »
Pour l’instant, cette proposition est à l’étude, mais rien ne permet d’affirmer que ce rapprochement va véritablement voir le jour.
Un porte-parole de la NPIA a expliqué :« la proposition du FBI est intéressante, mais l’accord définitif n’a pas encore été signé », et c’est le même son de cloche qui résonne dans les couloirs du ministère de l’Intérieur britannique qui a indiqué « chercher constamment de nouvelles techniques en vue d’améliorer l’efficacité de ces services. »
Pour conclure, précisons que cette annonce intervient quelques jours après la mise en place par le gouvernement britannique du contrôle biométrique de tous les passagers demandeurs de visa.
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