Le ratio du spam dans les volumes d’emails serait passé de 1 pour 11 en 2002 à 1 pour 2,5 en 2003, selon MessageLabs. Ces chiffres sont cependant difficiles à vérifier, car d’un internaute à l’autre, les volumes varient tout autant que la perception ce qui est et de ce qui n’est pas assimilable au spam.
Approximativement deux tiers des messages non sollicités, voire purement détournés, seraient expédiés via des relais, c’est-à-dire qu’ils seraient issus de techniques virales, à l’image du ver Sobig. Un chiffre qui paraît par contre quelque peu surévalué, en comparaison des 30% annoncés par Sophos. Le virus de l’année, moteur de spam Sobig mérite bien le titre de virus de l’année. Les services statistiques de MessageLabs ont relevé 32,4 millions d’attaques de systèmes en provenance du ver, soit 8 fois plus que les précédents ‘gagnants’ Klez.H et Swen.A. La présence de Sobig.F a été détectée sur 1 email sur 17 assimilés au spam ou vérolés. Mais pour MessageLabs, le plus grand danger à l’avenir ne devrait pas venir des emails vérolés, mais des usurpations d’identités, en particulier par le détournement de pages web reprenant l’identité de services commerciaux ou financiers.
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