Des pirates informatiques auraient réussi à accéder plusieurs fois à des données sur le programme de l’avion de chasse F-35. Surnommé le « Joint Strike Fighter », le chasseur aurait été la cible de pirates selon le Wall Street Journal.
A en croire des responsables gouvernementaux, les intrus auraient même pu copier des informations relatives à la conception de l’appareil et à ses systèmes électroniques. Des informations jugées cependant « non sensibles » selon ces mêmes responsables. A l’appui de cette thèse, les documents les plus critiques sont situés sur des postes non connectés à Internet.
La faille pourrait donc provenir des firmes qui fournissent des éléments de l’appareil. Dans l a ligne de mire, trois géants de l’aéronautique : Lockheed Martin, Northrop Grumman et BAE Systems.
Si aucun de ces trois groupes n’a encore formulé de réponse au sujet de ce vol, les responsables informatiques américains ont déjà une petite idée des assaillants. L’armée de l’air a ouvert une enquête, et se pencherait sérieusement sur la piste de hackers chinois. Une solution qui ne rassure personne puisque si l’ambassade de Chine a déclaré qu’elle continuerait de « bannir toute forme de cyber-délit« . Il est donc clair que si l’attaque provenait de cette partie globe, la piste officielle serait difficile à soutenir.
Encore une fois, il pourrait s’agir d’une « initiative privée » voire de » hackers patriotiques « . Difficile donc de démêler le discours politique d’une tentative d’intrusion organisée. Il serait probable que le ou les responsables de cette attaque soient indépendants mais noyautés par le pouvoir central chinois.
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