Rien de tel qu’un petit test consommateur.
The Gardian, un quotidien britannique, a acheté par Internet le virus de la petite vérole. Il l’a commandé sans difficulté aucune auprès d’une société, VH Bio Ltd di Gateshead, relate La Stampa du 15 juin. La société, voyant que l’adresse de livraison n’était pas celle d’une entreprise, a téléphoné au journaliste. Mais, rassurée par des explications sur le fait que la société changeait de siège, et que le client préférait se faire envoyer le produit à son domicile, le laboratoire a expédié le produit. Or, voilà 30 ans que la maladie a été déclarée disparue, et les vaccinations suspendues. Résultat, une diffusion de ce virus pourrait aboutir à une épidémie de 2,2 millions de personnes en six mois, d’après les experts cités par La Stampa. Trou noir Bref, si, en théorie, ce sont les laboratoires qui achètent ces souches de virus sur le web, il est possible à toute organisation mal intentionnée de faire de même. Charge à elle de s’équiper d’un laboratoire suffisamment performant pour manipuler ces dites souches. Le président de la commission pour la science et les biotechnologies au parlement britannique, Phil Willis, s’est alarmé. Il a parlé de « trou noir « , dans la protection. En effet…
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