ECLAIRAGE : Oracle 11g R2 serait-il moins pénible au soleil ?…

P.1- De Linux à Unix, Solaris, Windows…

P.2- Technologie clustering (RAC, RAC One Node)

P.3 -In-Memory Parallel Execution… et en mémoire de Sun

P.4- Réduire les volumes de data

P.5- Migrer les bases 10g (voire 9i…)

P.6- Face à IBM DB2, Microsoft, Teradata…

Aujourd’hui, les barrettes mémoire des serveurs sont abordables, ce qui apporte des opportunités à l’exécution parallèle en mémoire, des traitements encore optimisés grâce à une compression plus performante et un algorithme évolué sachant –par exemple- disposer des parties de table en mémoire sur plusieurs serveurs.

Et tous ces traitements réduisent fortement les besoins en entrées-sorties très pénalisantes pour les performances.

En outre, Oracle met en avant sa toute nouvelle infrastructure Sun Oracle Database Machine. Car rachat de Sun oblige ( cf. article : Oracle met la main sur Sun ). Cette infrastructure est extensible du simple rack jusqu’à l’équipement le plus complet contenant un Oracle Database Server Grid (8 serveurs SGBD, jusqu’à 64 cœurs et 400 Go de DRAM), un Exadata Storage Server Grid (14 serveurs de stockage, jusqu’à 112 cœurs et 336 téraoctets de disque avec 5 téraoctets de cache flash), tous deux accédant à un équipement réseau avec des liens Infiniband de 40 giga-octets/seconde jusqu’à 880 Go/s. Bref, de quoi voir venir…

Outre cette évolutivité, Oracle avance un argument financier : deux systèmes ‘Sun Oracle Database Machines’ facturées 2,3 millions de dollars procureraient l’équivalent des ressources d’un IBM Power 595 associé à 8 IBM DS8300 Turbo, vendus 10,7 millions de dollars ! Dixit Oracle…