On le sait, Equant n’est pas au mieux de sa forme. Le groupe a affiché en 2004 une perte nette de 274 millions de dollars pour un chiffre d’affaires en baisse de 1,2% à 2,914 milliards d’euros. La filiale services de France Télécom avait prévenu: l’année 2005 sera »
très difficile » et conduira à une « très forte dépréciation d’actifs« . Et les mesures de restructurations ne se sont pas faites attendre. Equant va supprimer 1.744 postes, soit près d’un cinquième de son effectif total de 9.313 salariés (à fin 2004) et va opter pour les délocalisations afin de réaliser des économies. Selon le syndicat CFDT, 1.500 postes seront créés en Inde, au Brésil et en Egypte. Rien qu’en Inde, ces délocalisations pourraient permettre à Equant d’économiser 20 millions de dollars en année pleine. 785 emplois seront supprimés en Europe, 358 en France, le reste aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Australie. En France, l’opérateur historique s’est néanmoins engagé à reclasser dans le groupe le personnel concerné. En 2003, Equant comptait encore 13.300 employés.
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