Le soldat inconnu va se sentir, en plus, abandonné. A partir du 30 octobre, ses compagnons de la gente pigeonnesque se prendront des décharges électriques dans les pattes, s’il leur vient à l’idée de demeurer en observation ou à la sieste au sommet de l’Arc de Triomphe.
En cause, bien sûr, les traînées blanchâtres et oxydantes dont ces agiles volatiles décorent les bas-reliefs républicains depuis leur glorieux perchoir. Il ne leur restera bientôt plus d’espaces où faire leur halte et leurs besoins. Ces chieurs à plumes sont déjà interdits de Louvre, d’Opéra Garnier, de cathédrale de Chartres… Pigeon Propre, une société toulousaine, revendique la salvatrice invention de « l’électro-répulsion »: il s’agit d’installer sur les monuments de la nation une herse faite de petites barrettes métalliques. Ces dernières sont parcourues d’impulsions électriques fort inconfortables, paraît-il. Le porte-parole de l’inventeur, colombophile, avertit : « Cela ne supprime pas les pigeons !». Donc, leurs fientes, non plus. Il faudra donc inventer un détecteur-broyeur-incinérateur à technologie high-tech durable, non polluante et éthiquement correcte pour en venir à bout. Chercheurs à vos processeurs!
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