Poursuivi en justice par Microsoft, Nintendo et Sony, le fabricant hongkongais d’un boîtier de piratage de jeux vidéo a signé un accord à l’amiable avec Sony, accompagné de compensations financières.
Le boîtier en question, commercialisé aux environs de 45 dollars, permettait de casser les protections de jeux vidéo. Un bon moyen de pirater les jeux et vendre des copies. L’accord signé par Lik Sang prévoit l’arrêt de la distribution du boîtier, ainsi que la reconnaissance des droits à la propriété intellectuelle de Sony. C’est aussi une nouvelle preuve du piratage organisé en industrie tel qu’il sévit en Chine et à Hong Kong, à tel point que les éditeurs hésitent à y distribuer leurs produits.
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