Google a récemment lancé sa librairie numérique sur le territoire américain. Selon nos confrères d’ITespresso.fr, elle compterait d’ores et déjà trois millions de titres gratuits et plusieurs centaines de milliers d’autres disponibles à la vente.
Fort logiquement, les éditeurs ont poussé la compagnie à sécuriser les ebooks, enfin de limiter les copies illicites. Un marché qui revient ici à Adobe, puisque ce sont ses DRM (outils de protection numérique) qui ont été choisis. Google utilisera donc la plate-forme Adobe Content Server 4 afin de protéger les livres électroniques, distribués sous forme de PDF et de fichiers ePub.
Ceci conforte la position de leader d’Adobe sur le marché des formats de fichiers numériques utilisés dans le monde de la publication, et plus précisément dans le secteur des livres électroniques. L’ePub s’est ainsi rapidement et massivement imposé. « Les technologies d’Adobe aident les éditeurs à naviguer dans un univers multimédia en pleine mutation au sein duquel des équipements innovants offrent de nouvelles perspectives pour développer le business sur le long terme autour d’un contenu vraiment unique », explique Dave Burkett, vice-président et general manager du pôle creative solutions business chez Adobe.
Pour Google, c’est un choix logique, l’ePub et les PDF étant supportés par pratiquement tous les terminaux du marché. Espérons toutefois que la compagnie n’appliquera pas de façon systématique les DRM aux œuvres vendues. O’Reilly France avait montré en son temps que des solutions alternatives étaient envisageables (comme la signature d’un PDF avec le nom de l’acheteur).
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