Après l’avis rendu par les commissaires européens sur le fait que ce rachat n’entraverait pas la concurrence, Google finalise son offre d’achat de DoubleClick.
Mais, entretemps, le prix a été renégocié à la hausse: le géant des moteurs de rechercher devra finalement débourser 3,24 milliards de dollars, et non pas 3,1 milliards comme initialement prévu, soit une augmentation dépassant 4%, pour acquérir le champion de la gestion des campagnes publicitaires sur Internet.
Face à la pression exercée par le marché et par Microsoft en particulier, Google, a dû remettre la main à la poche. Il est vrai que la procédure a été ouverte il y a près d’un an, 11 mois exactement.
Les autorités de régulation, tant la SEC (Securities and Exchange Commission), du côté des opérations en bourse, que l’Union Europénne, pour le risque d’atteinte à la libre concurrence, n’ont pas manqué d’éplucher le dossier avant de conclure positivement leurs investigations.
Le rachat est donc autorisé, sans qu’il y ait, pour l’heure, d’autres contestations.
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…