»
Si le gouvernement avait été autorisé à récupérer l’ensemble des requêtes, cela aurait pu miner la confiance accordée par les utilisateurs dans notre capacité à respecter la vie privée« , a déclaré Google, commentant la décision du juge fédéral James Ware. Ce dernier, comme on s’y attendait, a débouté la demande du département américain de la Justice (DoJ). Celui-ci, sous le motif d’exploiter les mots clés posés par les internautes dans leurs requêtes pour tester les systèmes de filtres pour protéger les enfants en ligne, en particulier de les protéger d’éléments sexuellement explicites (pédophilie), avait en effet demandé à Google de lui fournir les adresses stockées dans ses bases. Une demande à laquelle Google a toujours refusé d’accéder, arguant de la protection de la confidentialité des usages des internautes. C’est donc un succès pour Google, qui n’a à ouvrir ni ses fichiers ni ses algorithmes, et un soulagement pour les internautes, inquiets de voir leurs données de recherches personnelles rendues accessibles au gouvernement américain. Demi-succès serait un terme plus adéquat, cependant, car le juge James Ware a ordonné à Google de fournir les adresses de 50.000 sites Web. AOL, MSN et Yahoo ont en revanche fait preuve de moins de scrupules et de retenue vis-à-vis de leurs utilisateurs, ils ont accédé à la demande du gouvernement et fourni les informations demandées !
Onepoint, l'actionnaire principal d'Atos, a déposé une offre de reprise du groupe. En voici quelques…
Broadcom a repris seul la main sur la vente de l'offre VMware d'AWS... qui, dans…
Microsoft expérimente, sous la marque ZTDNS, une implémentation des principes zero trust pour le trafic…
Accord de principe entre créanciers, propositions de reprise, discussions avec l'État... Le point sur le…
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…