C’est la fin des politesses. Evoquant les suppressions d’emplois par l’entreprise Hewlett-Packard, M. Chirac s’est notamment demandé s’il est
« légitime et normal que la Commission se désintéresse d’un problème » comme celui-là. A l’issue du 24è sommet franco-italien, il a décrit une entreprise « gagnant beaucoup d’argent » et « prenant des décisions à fortes conséquences sociales sans que l’Europe, l’Union européenne, c’est-à-dire en réalité la Commission, ne s’estime impliquée, concernée ou n’estime avoir quelque chose à dire ». « L’une des raisons qui explique le désaveu actuel de l’Europe c’est ça », a estimé Jacques Chirac. « La vocation de l’Europe et des institutions européennes, c’est aussi, je dirais surtout, de défendre l’Europe, les intérêts économiques, financiers, sociaux de l’Europe », a-t-il souligné. Or, dans le cadre de discussions à l’Organisation mondiale du commerce (OMC), la Commission « évolue de concessions en concessions » et « ne donne pas le sentiment de défendre les intérêts de l’Europe », a-t-il accusé. « Il y a un problème qui doit être examiné. »
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