FPNI, Field Programmable Nanowire Interconnect, est le projet expérimental de deux chercheurs de Hewlett-Packard, Greg Snider et Stan Williams, pour accélérer la vitesse des composants en adoptant la nanotechnologie.
Leurs travaux, qui vont d’être publiés dans la revue Nanotechnology, pourraient marquer une rupture dans les processus technologiques liés à l’évolution de la puissance des semi-conducteurs.
Les méthodes traditionnelles de l’industrie ont fait leurs preuves, mais dans le même temps ont atteint des limites physiques en termes de vitesse. Ce qui a contraint les fondeurs, comme Intel ou AMD, à adopter de nouvelles stratégies pour augmenter les performances, en particulier en multipliant les c?urs sur un même processeur (multi-core).
En créant des nano-composants de très très petite taille, des ‘super-small nano-components‘, et en les associant avec des composants plus traditionnels, les deux chercheurs affirment pouvoir reprendre la course à la puissance, tout en respectant la taille des composants actuels.
Nous pensions que la course à la puissance avait rencontré ses limites… HP pourrait relancer l’industrie dans une nouvelle course dont l’enjeu, comme il y a deux ans jusqu’à l’arrivée des processeurs ‘dual-core‘, pourrait revenir à la vitesse.
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