Lors d’une conférence destinée à justifier les 3 cents perdus par action au premier trimestre, IBM a reconnu qu’il envisageait une »
restructuration adaptée« , mais n’a pas commenté ses projets de restructuration. Pour Toni Sacconaghi, analyste chez Sanford Bernstein, le mécontentement des investisseurs devrait se traduire par le licenciement de 5.000 à 10.000 employés de Big Blue ! Les coupes franches pourraient concerner les activités de mainframe, et plus particulièrement les salariés des divisions « grands systèmes » en Europe. Ce n’est pas impunément que ces secteurs ont affiché des chutes à deux chiffres au premier trimestre ! Le recul de 3% du chiffre d’affaires d’IBM au premier trimestre est très mal perçu par le marché. Surtout que ce résultat ne suit pas la tendance de ses concurrents qui s’inscrivent plutôt à la hausse. Et IBM de charger l’Allemagne, la France et l’Italie pour justifier de la chute de ses ventes. Quant aux investisseurs, ils font face à un dilemme: ce recul du résultat de Big Blue au premier trimestre tient-il du syndrome boursier à la baisse, ou de la pause avant un redémarrage vers des technologies plus enrichissantes ? A défaut de répondre à cette question, IBM pourrait lancer un signe toujours apprécié par les investisseurs: supprimer jusqu’à 10.000 emplois? (dont 5.000 en Europe: cf. nos précédents articles).
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