Contrairement à ce qui avait d’abord été interprété, IBM ne met pas des produits logiciels dans le domaine public. Il s’agit de donner à des développeurs un accès à du code « propriétaire » afin qu’il soit transférer dans le monde du logiciel libre ou « open source ». Ce sont près d’un demi-million de lignes de code qui seront ainsi légués à la communauté des éditeurs Linux. Ils représenteraient un valeur de 85 millons de dollars. Pour IBM, le but consiste à faciliter et rendre plus confortable l’écriture de nouvelles applications en utilisant le langage Java. Ainsi, Big Blue fait d’une pierre deux coups: un message clair vers la communauté des développeurs Linux -la contribution au logiciel gratuit la plus généreuse jamais accordée- et un soutien appuyé au langage de développement Java, introduit, rappelons-le, par l’un de ses concurrents, Sun Microsystems.
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