Le paysage espagnol des télécoms est sujette depuis plusieurs jours à une effervescence sans précédent qui préfigure un mouvement de concentration très important.
Ce lundi, Auna le numéro deux du secteur (derrière Telefonica) annonçait son intention de s’emparer du câblo-opérateur ONO pour la coquette somme de 2,4 milliards d’euros. Mais 24 heures après, l’opérateur apprennait qu’il passait du statut de prédateur à celui de proie en devant la cible de cinq sociétés de capital risque. CVC Capital, Apax Partners, Carlyle, Blakstone et Providence sont en effet prêt à débourser 11 milliards d’euros pour s’emparer d’Auna. Un record en Europe pour des fonds d’investissement. Ce n’est pas la première fois que ces sociétés s’intéressent au marché espagnol et notamment à Auna. En juillet dernier, ils avaient déjà proposé 8 milliards d’euros pour la filiale mobile de l’opérateur, Amena. Du côté d’Auna, la perspective d’une vente n’est pas rejetée. Mais pas à n’importe quel prix. En septembre, la direction d’Auna indiquait que les actionnaires ne céderont pas leurs titres pour moins de 14,5 milliards d’euros.
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